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Mºèsoègº
05/04/2006 21:18
Le mensonge n'est pas haïssable en lui-même,
Mais parce qu'on finit par y croire.
N'importe quel sot peut dire la vérité,
Mais il faut qu'un homme soit un peu sensé pour savoir bien mentir
Le mensonge,
Ce rêve pris sur le fait.
La langue ment à la parole et la parole à la pensée.
Les plus détestables mensonges
Sont ceux qui se rapprochent le plus de la vérité.
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Eτєяиiτé
05/04/2006 21:09
Il n'est rien de plus précieux que le temps, puisque c'est le prix de l'éternité.
-[*`':,.]-
L'éternité n'est guère plus longue que la vie.
-[*`':,.]-
La mort ne peut être pensée puisqu'elle est absence de pensée. Il faut donc vivre comme si nous étions éternels.
-[*`':,.]-
Certes, il est beau de rêver à l'éternité. Mais il suffit à l'honnête homme d'avoir passé, en faisant son oeuvre.
-[*`':,.]-
N'espère rien de l'homme s'il travaille pour sa propre vie et non pour son éternité.
-[*`':,.]-
L'éternité occupe ceux qui ont du temps à perdre.
-[*`':,.]-
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LaChE tEs CoOms IcI
03/04/2006 20:14
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CiTaTiOn
03/04/2006 19:59
Je voulais vous confier un dicton:
"Si une amie te trahit une fois,c'est sa faute.Si elle te trahit deux fois c'est ta faute."Vous avez compris le sens? Rappellez-vous que l'amité c'est comme un roseau,elle se trord,mais ne se brise jamais.
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Ma BoNeDe
03/04/2006 02:22
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ElLe C eSt SaLmA uNe AmIe TrEs CoOl de Fes
03/04/2006 02:20
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Sara et sofia vous passe un ptit bonjour a tous et a toutes et soyais les bienvenue dans notre blog
03/04/2006 02:17
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24/03/2006 17:42
Tu poursuis ta route... A laquelle prennent part de nouvelles ombres... Comme de nouvelles lumières... Tu t'arrêtes ...Tu te retournes... Et observe... Tu les voies... Les ombres... Les fantômes... Les peurs... Les doutes... Les désillusions... Le passé qui t'a forgé... Qui t'a fait si mal... Les chaînes qui te retiennent... Mais qui lentement cèdent... Les douleurs sont toujours là... Vivantes et elles continuent à faire saigner... Tes nombreuses cicatrices... Les bleus se sont atténués... Les larmes se sont asséchées... Le temps a passé... Mais tu te souviens... Chaque moment... Chaque image... Est gravé dans ton coeur... Comme dans ton âme... Et tu le sais... Tristesse fera toujours partie de toi... Même si par moment... Le sourire est là... Le regard lui ne trompe pas... Pourtant de belles choses sont là... Mais quelque chose t'empêches... De les vivre pleinement... Le passé... Tu es toujours toi... Ni blanche ni noire... Ni triste ni gaie... Plus noire que blanche... Plus triste que gaie... Les questions te rongent toujours... Pourquoi? ... Nul ne le sait... Tu regrettes de ne pas avoir pu... Vivre certaines choses... Alors qu'aujourd'hui tu le pourrai... il est trop tard... Fatalité encore... Tu sais que la culpabillité est malsaine... Que les regrets n'apportent rien... Ils te bouffent juste... Et pourtant tu ne peux pas t'empêcher... D'imaginer... Tes yeux se placent lentement... Sur ce chemin qui se trace... Qu'y a t'il au bout? ... Tu ne sais pas... même si aujourd'hui... Tu serres une main dans la tienne... Et que ton coeur s'est un peu réchauffé... il y a les mêmes automatisme qui reviennent... Peur de la déception... De trop vouloir de trop donner... Et de plonger à nouveau dans... La plus profonde des obscurités... Et même si ton regard ne le montre pas... Tout au fond de toi tu trembles... Encore... Annuler
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Je t'aime
24/03/2006 17:40
Il y a des sentiments immortels... Des bouts de passé qui... Vivront toujours en toi... Et jamais ne te quitterons... Un amour qui... Même s'il ne vit plus... Demeurera toujours... A l'abri, enraciné au plus profond... De ton être... Des morceaux de vie... Que l'on ne peut... Juste oublier... Des gestes que l'on ne peut... Effacer... Des mots prononcés... Que le temps ne pourra... Même pas gommer... Ils font partis de toi... A jamais... Tu peux l'avouer aujourd'hui... Et le dire... Même si au fond... C'est cruel...
 "Je t'aime et je ne te quitterai jamais...
Car toujours en mon coeur, tu seras gravé..."
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24/03/2006 17:37
C'est comme être désert... Vide de tout... A bout de mots, de rêves... Et voir encore la nuit doucement t'envahir... Où chaque étoile lentement s'éteint... Et la chaleur furtivement se dissiper... Pour laisser place au soir éternel... Étrange atmosphère qui t'entoure... Comme si le froid délicatement... Prenait possession de tout ton être... Plus de couleurs, plus de songes... L'impression incessante de n'être... Que mensonge... Vouloir fuir loin... De cet obscur chemin... Mais des mains invisibles te retiennent encore... Bien trop faible pour lutter contre... Tu les laissent agir pour toi... Comme un pantin de bois desarticulé... Une vulgaire poupée de chiffon... Au fond, qu'elle importance? ... Jamais tu n'as été ce que tu as voulu... Tes chimères bien vaines... Juste des espérances dérisoires... Face à ce monde si brutal... Il ne reste rien... Que l'écho indescriptible... D'une plainte sans fin... Tu respires juste... De la mélancolie... Elle emplie ton âme et coule dans tes veines... C'est ainsi... Tristesse fera toujours partie de toi... Il est inutile de lutter... Et elle t'emportera...
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